si j'avais un soupire javel un sourire une morte à l'intention flagrante et des ovaire gros comme des lentes tu me casse les cool, amirale et ton narcisse masochiste qu'il pleuve de tes entrailles des lettres d'amant aimé et déçu et déchu et dessus et...
Je suis un kiwi d’horreur Je suis une prune en forme de prune Et quelques autres légumes forts à propos
Ah, la perle du printemps comme si l'été n'était rien et ne détonne de l'automne qu'un soupçon d'ivraie livrée surement à domicile, d'homicide volontaire, de frasque, oui, mais de bonne heure rhaaa, pourquoi ont-ils tué Jaurès?
merde au geek merde aux boutonneux merde a françois hollande a douze ans
Mathilda, En ce jour qui se suis, j'entend c'est huit lettres la, Henry dans l'aile, l'empreinte du chihuahua, La reponse a ma question c 'est toujours non !!! Paris, la pluie ,mon lit , la nuit. Au lyre d'Yann et l'autre d'ici, hé !
Si la vie si vue se valait sans se vouloir, de vivre vous vous lasseriez. Mais si la lointaine lueur et ses longues lignes dilués l’enlassait, vous vous vendriez pour deux virages et trois pains au lait. Et je m’en lave les mains.
Mon chien est mort d'une cyrose Peut être était-ce par osmose Tellement il buvait mes paroles
Le rond fondu dans l'oeil la peau en graine de pasteque la limodade au raisin entre les doigts les tourtes de veaux-dames largement en orgueil Un dabi naxmu oktadu, Da oum tika, Indicha. Oun da pila Tilapoupou, Tilapou-pou .
Je suis le Diable mort Le cadavre de chair Le naufrage d'une âme Aux abords de la vie. Né de l'ombre gisante, Accouché de vermines, J'ai remonté l'ébène Du Styx jusqu'à la bile; Et de ma panse acide Je lâche, en râles immondes, Les flots bruns et amers...
Sur mes oreilles j'ai tatoué ton zero six, libre a l'envers, ta tortue carapacé, les mois citrique, la tete en clou, j'entend les roustes, j'y met du tien, t'es mort la mort
Que moi, Si que moi, j'entend que rire que moi Il n'y a que moi pour rire de moi Henry Quemoi, L'Enriquemoir, Oh, l'oriquemoi, libre comme moi, Moi l'asticot.
Faut faire du chiffre mon bon ami, S'il faut tenter j'etire ma tourte, les tarte en bois des pires taulés, l'anthrax d'ethyl, la loutre d'été. Le temps du thym, Lilith Touquet, Un litre de miette, un lit, des têtes, tu dors en faite.
MOI, j'essaie de gagner des victoires
je veux bien courber l'échine, mec mais ya un moment ou ca va plus le faire
quand les gens en auront marre de finir leurs phrases par des cierges tendus
elle est comme ça!
J'immole, j'enroule Le temps, les moules
parlons carotte alors ce sera plus contextuel le mieux est l'anémie du bien descendre dans un puit pour allé voir dieu l'opium est la religion du peuple et en rire, c'est mal
je peux m'en empecher mais c'est plus fort que moi je suis un peu compromis par ce truc oui bien sur, tu peu prendre le protoide en photo juste tu me le balance dans la gueule si je m'endore
je, je je nan l'arbitre de ce match n'est pas il heu la congestion des meutres s'explique par l'étirement des pantoufles de giscard lyncantrope homosexuel heuu... un poil dans les bois mièvre laide liquide charlène trois pti poins
vinset up comme dans la course une histoire sympa de rat crevé l'occité des pleurs et des gris des vieux et des nuits trempé dans le fond comme on jouit
mes pas dans un lac conique qu'une opale vilégiature écrue et tel le mirage d'un songe danse sur les cotes d'antan pour oublier des cendres sandre bleu sur fond bleu et caille dans la nasse qui s'étire sans promulgue tantot et soudain
regarder s'écouler le sang épais de babylone dans le dédale des pavés de saumon frais ça m'effraie et pourtant me berce d'un dénivelé sensoriel chaud, rhondodrique et céladon un pas de puce dans l'univers un drap de plus dans mon vestiare en bandoulière...
une gigantesque falaise comme un rêne debout sur ses pattes arrière qui vomi une cascade sur la vallée de l'ours paisible
Convolons vers le septième fiel aussi fort que possible que peaux cibles
Ce site, fruit de la rencontre d'un jeune roumain apatride et d'une société mondiale décadente, reflète les désillusions d'une génération minoritaire. A travers des textes souvent hermétiques et forcément absurdes, Aldous Pivitim (Пивътйм), diplômé en Lettres Modernes à l'Université de Cergy-Pontoise, purge ici ses douleurs de vivre et sa quête d'idéal. De ces calembours cruels, au slavisme assumé, résonneront sans doute en écho vos interrogations viscérales.